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Didier Aplogan Djibodé au ministère de la jeunesse, des sports et loisirs : 15 mois d’actions porteuses d’espoir


En faisant le point de ses actions au ministère de la jeunesse, des sports et loisirs hier sur l’émission « Dossiers en mains » de la télévision nationale, Didier Alpogan Djibodé s’inscrit beaucoup plus dans la durée. Ce sont des actions porteuses d’avenir. « Si nous devons avoir des médailles dans huit ans, c’est maintenant qu’il faut se préparer », a soutenu le ministre pour planter le décor.
C’est dans cette logique qu’il a inscrit l’organisation des inter-communes de natation et d’athlétisme. Dans quelques jours, ce sera celles de cyclisme. Cela vise, selon le ministre, à avoir comme une carte sportive nationale qui ferait que chaque région pratiquerait des sports adaptés à son environnement.
C’est dans la durée que portera aussi des fruits la création des classes de sport qui pour le moment se limitent à quatre disciplines. L’objectif de cette initiative est de permettre aux élèves de s’adonner davantage aux sports simultanément avec leurs études.
Il en est de même de l’envoi de jeunes enfants en stage de formation au Brésil. A ce niveau, le ministre a précisé que les enfants jouissent de conditions optimales pour leur épanouissement. Et pour ce qui est du supposé retour sur fond de mécontentement d’un des entraîneurs du Brésil, Didier Aplogan dit qu’il n’en est rien. C’était prévu.
Toujours dans cette perspective futuriste, il est programmé la construction d’infrastructures sportives dans certaines régions qui en sont dépourvues. En ligne de mire, Parakou la capitale du septentrion. Celles construites devront être parfaites et bien entretenues.
Cependant, les actions à effets futurs n’occultent celles qui peuvent être inscrites au palmarès du ministre d’Allada. Entre autres, il y a l’organisation réussie des 18èmes championnats africains d’athlétisme, l’organisation de deux fêtes nationales, la mise en route des politiques de sport, de jeunesse et de loisirs…
Seulement, cette volonté ministérielle est inhibée par certaines querelles de personnes qui entraînent des crises institutionnelles notamment dans le football. Pour cette crise à rebondissements, le ministre dit avoir fait de son mieux pour que le fair-play prévale. En vain.
Enfin, il milite pour une augmentation du budget annuel de son institution qui, après tout, est aussi « un ministère de l’éducation ».
Par Joël C. T.

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