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Can junior 2013 : Les Ecureuils du Bénin à 90 mn d’Algérie 2013


Le stade Charles de gaulle de Porto-Novo a vibré hier, sous le rythme de la rencontre qui a opposé la sélection  junior des écureuils du Bénin à celle du Sénégal pour la manche aller des dernières journées qualificatives du championnat africain junior de l’an prochain prévu pour se dérouler en Algérie en 2013. Très tôt après le coup d’envoie de début de partie, les choses sont allées un peu plus vite que d’habitude,  ainsi se sont les  jeunes écureuils du Bénin qui se font annoncer pour les toutes premières occasions offensives de buts. Croyant à leurs potentialités et à l’appui de leur public qui massivement a effectué le déplacement de Charles de gaulle, les Béninois contraignent leurs visiteurs à jouer retrancher dans la moitié de leur terrain. Gagnant en confiance, les protégés du coach Ulrich Alohoutadé font preuve d’une discipline tactique et technique très correct et parviennent même à retrouver à plusieurs reprises les 7m32 Sénégalais mais sans grand succès jusqu’à la fin des 45 premières mn de la partie. Ragaillardir par les consignes du staff technique à la pose, et les nombreuses promesses, les joueurs béninois reprennent la seconde partie avec plus d’ambition et parviennent à ouvrir le score à la 52 mn. Touché dans leur propre amour et tirant leçon de la débâcle de la dernière victime de ses écureuils dans ses éliminatoires et sur ce même terrain, les sénégalais se décident à recouvrer toute leur facultés pour ne facilement courber l’échine afin d’évité la correctionnelle Ivoiriens. Dès lors, les jeunes lionceaux de la Téranga  se réorganisent et profite des quelques espaces à eux concéder par l’équipe Béninoise et parviennent à rattraper leur retard au marquoir électronique  c’était l’égalisation  62ème  mn après l’ouverture du score. Ainsi cette confrontation Bénin-Sénégal remonte d’un cran et affiche un niveau global de classe mondiale. Décidé à assurer la bonne manche retour les protégés d’Ulrich Alohoutadé affichent toute leur détermination et arrivent à marquer deux autres buts et crée l’écart sur le score de 3 buts à 1. En espérant la phase retour qui donnera la qualification pour Algérie 2013, le staff technique des écureuils junior se doit de corriger les quelques imperfections observés lors de cette manche allée contre cette sénégalaise. Déjà la manche retour est prévue pour ne pas être une partie de plaisir, et s’annonce beaucoup plus difficile que ce dont on eu droit hier au stade Charles de Gaulle de Porto-Novo. Pour rappel des deux équipes, celle qui fera la différence au score à la manche retour sera définitivement qualifiée pour le Championnat Africain des nations de football prévu pour se dérouler l’année prochaine en Algérie. En attendant l’équipe béninoise peut savourer cet écart de 2 buts qui octroi un avantage phycologique acquise dans la douleur et sur le fil du rasoir.  En attendant la manche retour qui aura lieu dans deux semaines, l’équipe du Bénin a réussi une bonne opération en battant celle du Sénégal 3-1. Mais les Lionceaux de la Téranga ont tout de même préservé l’espoir en marquant un but à l’extérieur.  Les matches retour auront lieu du 12 au 14 octobre 2012. Les sept équipes qualifiées rejoindront celle de l’Algérie, nation hôte de la phase finale. La CAN juniors est prévue du 16 au 30 mars 2013.
Par Gautier NOUDOFININ
Quelques résultats
Vendredi 21 septembre 2012
• Afrique du Sud – Nigeria 1-1
Buts : Thabani Mthembu (12e) pour l’Afrique du Sud - Ajagun Abduliellel (54e) pour le Nigeria
Samedi 22 septembre 2012
• Zambie – Mali 2-2
• Cameroun – RD Congo 2-0
Buts : Charles Eloundou Etoundi (5e), Ndjika Hugues Douglas (20e)
• Burkina Faso – Gabon 2-2
• Egypte – Angola 2-1
Dimanche 23 septembre 2012 –
• Ghana – Maroc 4-1
• Bénin – Sénégal 3-1





Visite de Mathurin Nago à Bruno Amoussou : Pour la paix… ou sur le chemin de 2016 ?

Dans le cadre de la décrispation de la tension sociale au Bénin, le président de l’Assemblée Nationale Mathurin Coffi Nago a entrepris une série de rencontres avec les hommes qui ont marqués l’histoire de la politique nationale.  Seulement, la fréquence de ces rencontres suscite des interrogations et porte à croire que la deuxième personnalité du pays est entrain de baliser le terrain pour les présidentiels de 2016.

Après maître Adrien Houngbédji, Nicéphore Soglo et bien d’autres figures emblématiques de la politique nationale, Mathurin Coffi Nago s’est rendu au domicile du “renard de Djakotomey” Bruno Amoussou jeudi dernier à Cotonou. Entre autres  sujets abordés, il y a notamment l’actualisation de la Liste Electorale Permanente Informatisée (Lépi) dont le rapport du groupe de travail est finalisé au Parlement. L’objectif visé par ces différentes rencontres est de permettre au président Mathurin Coffi Nago de prendre conseil auprès de ces personnalités afin de susciter la cohésion autour du fichier électoral avant l’échéance fatidique de mars 2013. Aussi pourrait-on signaler selon des indiscrétions que le président Mathurin Nago est dans le souci de gagner l’estime de ces hommes avertis de la politique nationale histoire de bien se positionner pour les élections présidentielles de 2016. A ce sujet, de sources concordantes, la deuxième personnalité du Bénin  nourrit l’ambition pour succéder à l’actuel locataire de la Marina. Et pour atteindre ce but, il sait mieux que quinconque que la route est très longue et parsemée d’embûches. Raison pour laquelle le président de l’Assemblée Nationale s’est levé tôt pour être à l’abri des surprises de dernières minutes puisqu’il a de sérieux prétendants à l’instar d’Abdoulaye Bio Tchané, Pascal Irenée Koupaki, Nassirou Bako Arifari, Léhady Soglo et bien d’autres. Voilà donc l’autre raison qui motive Mathurin Nago à aller vers les piliers du monde politique béninois ces derniers jours. C’est peut-être de bonne guerre puisque le jeu en vaut la chandelle.
Par Omer d’ALMEIDA
 
 

Parakou: Les travaux du port sec entrent dans la phase opérationnelle


Le port sec de Parakou sera bientôt réalité. C’est ce que certains acteurs ont annoncé hier sur Golfe Télévision au cours d’une émission.

Dafia Séro, ex-Directeur des services techniques de la mairie de Parakou, Lazare Gnonlonfin, consultant een ingenierie portuaire et Gilbert Ahodi, Ingénieur des ponts et chaussées étaient hier sur le plateau de Golfe télévision. Pour ces différents acteurs impliqués d’une manière ou d’une autre dans le projet de port sec de Parakou, tout est mise en œuvre pour que le projet connaisse son aboutissement en 2013. Autrement dit, le port sec doit pouvoir entrer en fonction du début de l’année 2014. Dans cet élan, les travaux de la phase opérationnelle ont démarré et vont s’étendre sur toute la période. Ces travaux sont répartis en six zones et sont concernés par plusieurs entreprises. Mais tout commencera par le terrassement. Cette phase est nécessaire, à cause des niveaux divers que comporte le site, a informé l’ancien Dst.
Actuellement, ce sont les travaux de la clôture qui sont en cours et sont déjà réalisés à près de 40%.
Avant cette phase, il y a eu les études techniques. Ces travaux qui se déroulent hors des regards, dans les bureaux et laboratoires, ont pris assez de temps, a expliqué Lazare Gnonlonfin.
« Les gens vont croire que le projet n’avancent pas ». Mais, tout va pour le mieux. D’ailleurs en juillet dernier, la conférence des partenaires a donné son quitus pour que démarrent les décaissements. Ce qui fait que dans un délai record, les prestatires de services sont payés », ont expliqué les invités. Le temps pris était aussi pour pouvoir prendre toutes les précautions du fait de l’importance des investissements à faire. A présent, le port sec est une bonne affaire qui sera bénéfique pour les populations et le pays. « Il faut donc que toutes les autorités appuient le projet pour qu’il soit réalisé », a insisté Lazare Gnonlonfin.
Par Joël C.T.

Assemblée Nationale : Les députés en tournée à travers le pays dès le 1er Octobre prochain

A la suite de la première session ordinaire de l’année 2012 et des deux session extraordinaires convoquées respectivement par les députés et le gouvernement, les élus du peuple se rendent dans les différentes régions. L’objectif de ladite tournée est de faire le point des activités menées avec les populations.
Découpage territorial, actualisation du fichier électoral et autres sujets  brûlans de l’actualité politique. Voilà les questions pour lequelles les députés de la sixième législature seront dans les 77 communes à partir du lundi 1er octobre. Au cours de cet exercice, les 83 élus du peuple auront à rencontrer les populations dans leurs circonscrptions électorales respectives. Au terme des rencontres et échanges, des rapports seront produits et permettront au Parlement de prendre en compte les préoccupations de leurs électeurs aux fins de leurs donner satisfaction.
 Par Omer d’ALMEIDA


Ceremonie d’hommages : Deux ambassadeurs inhumés ce week-end

L’arrière-cour du nouveau bâtiment du Ministère des Affaires Etrangères, de l’Intégration Africaine, de la Francophonie et des Béninois de l’Extérieur a servi de cadre vendredi à la cérémonie d’Hommages et de recueillement des autorités à divers niveaux ainsi que du personnel dudit Ministère et dans le respect de l’ordre protocolaire, à « La mémoire des Feux » Guy Landry HAZOUME, Ancien Ministre des Affaires Etrangères et Christophe GBEGBO, Ancien Ministre-Conseiller et Chargé d’Affaires par intérim à l’Ambassade du Bénin à Abidjan. Une cérémonie placée sous le Haut Parrainage du Patron de la diplomatie béninoise, le Professeur Nassirou BAKO-ARIFARI.

Prévue pour démarrée à 12 heures, la première cérémonie d’Hommages et de recueillement dédiée à la mémoire de Feu Guy Landry HAZOUME, Ancien Ministre des Affaires Etrangères du Bénin, a connu plus d’une (01) heure de retard. La raison est toute simple : le Chef de l’Etat, Docteur Boni YAYI, a souhaité se joindre à l’assistance pour rendre un ultime hommage à l’illustre disparu, dans ce Ministère qui était le sien et à qui il a beaucoup donné. Au dernier moment, son agenda n’a pas pu lui permettre d’effectuer le déplacement. Mais ce retard dans le déroulement du programme n’a en rien émoussé les ardeurs des uns et des autres (Anciens Ministres, Anciens Ambassadeurs et Membres de l’Association des Retraités du Ministère des Affaires Etrangères, Ministres Plénipotentiaires des Affaires Etrangères, Membres du Cabinet du Ministre, Directeurs et autre personnel du Ministère) qui, à l’occasion, ont fait montre d’une patience à toute épreuve. Au cours de son oraison funèbre, le Ministre Nassirou BAKO-ARIFARI a d’abord rappelé que « c’est pour une première fois que, coup sur coup, et dans la même journée, une double cérémonie est organisée pour rendre hommage à deux collègues qui nous sont Chers ». Il n’a pas tari d’éloges, je dirais bien mérités, à l’endroit de celui qu’il a tenu à désigner sous le titre de « Ministre Guy Landry HAZOUME », un monument de la diplomatie béninoise, qui jouissait d’une paisible retraite jusqu’à ce fatidique mercredi 22 août 2012 où il a tiré sa révérence, dans sa 72ème année.
Le Ministre Guy Landry HAZOUME faisait partie de ceux qui en ont vu d’autres. Né le 10 juin 1940 à Port-Gentil au Gabon et après des études de Philosophie et de Sciences Politiques à la Sorbonne de 1962 à 1965, il intègre l’Institut des Hautes Etudes d’Outre-mer de Paris, d’où il sort avec un diplôme de la section diplomatique en 1965. En juin 1966, il est recruté au Ministère des Affaires Etrangères où il est aussitôt nommé Directeur Adjoint des Affaires Politiques. C’est parti pour une belle et exemplaire carrière de diplomate et d’universitaire qui lui ont valu, au sommet de son art, successivement les postes de Directeur Général du Ministère des Affaires Etrangères de juillet 1981 à septembre 1982 ; d’Ambassadeur du Bénin auprès du Gouvernement des Etats-Unis d’Amérique à Washington D.C, avec juridiction sur plusieurs autres pays de la région de juin 1983 à février 1987 et de février 1987 à août 1989, de Ministre des Affaires Etrangères et de la Coopération. A son actif, on peut citer plusieurs ouvrages, dont le mémorable Idéologies tribalistes et Nation en Afrique : le cas du Dahomey, publié en 1972 à Paris et qui reste, à ce jour, une référence. Le Ministre Guy Landry HAZOUME avait un mot d’ordre à l’endroit du personnel que le Patron de la diplomatie béninoise n’a pas manqué de rappeler pour la circonstance : « il vous faut rêver un peu et être déterminé à réaliser son rêve par le travail, en toute bonne conscience du devoir bien accompli, dans la discipline et avec probité. » En réponse, le représentant de la famille éplorée, le Professeur à la retraite Marc-Laurent HAZOUME, dans son mot de courtoisie, n’a fait qu’exprimer le vœu, qu’ « au-delà de la reconnaissance des hommes, que ce digne fils de la patrie soit recueilli par DIEU dans sa demeure éternelle. » 
Que dire de plus après tant d’éloges et de reconnaissance. Peut-être faut-il encore laisser Alfred de VIGNY, dans son poème-culte La mort du loup, nous rappeler qui nous sommes : « Hélas ! Ai-je pensé, malgré ce grand nom d'Hommes, Que j'ai honte de nous, débiles que nous sommes ! Comment on doit quitter la vie et tous ses maux, C'est vous qui le savez, sublimes animaux ! A voir ce que l'on fut sur terre et ce qu'on laisse Seul le silence est grand ; tout le reste est faiblesse. »

Adieu Guy Landry !
La deuxième cérémonie d’hommages et de recueillement a été consacrée à la mémoire de Feu Christophe GBEGBO, Ancien Ministre-Conseiller et Chargé d’Affaires par intérim à l’Ambassade du Bénin à Abidjan, rappelé à DIEU le mardi 21 août 2012 dans sa 60ème année.

Lors de son oraison funèbre, le Secrétaire Général du Syndipat-MAE, le diplomate Jimmy AGONGBONON, a exprimé à l’endroit de la famille éplorée, au nom du personnel du Ministère, sa « profonde compassion et sa solidarité dans l’épreuve. » Il a ensuite rendu grâce à DIEU. Car, dira-t-il, « la vie et la mort sont du domaine de DIEU. » Monsieur Jimmy AGONGBONON a beaucoup insisté sur les qualités  intrinsèques de l’homme, qui constitue, à n’en point douter, l’un des piliers et des modèles sur lesquels la nouvelle génération compte, en termes de conseils et d’orientation, pour relever les nombreux défis qui jalonnent l’exercice de la fonction de diplomate qui, encore plus que par le passé, exige plus d’engagement, de doigté, de finesse et du métier. Malheureusement, l’Aîné s’en est allé et la phrase incontournable a été prononcée par le Secrétaire Général du Syndipat-MAE, le diplomate Jimmy AGONGBONON : « Va et que ton âme repose en paix ! »
Le Ministre des Affaires Etrangères, de l’Intégration Africaine, de la Francophonie et des Béninois de l’Extérieur, le Professeur Nassirou BAKO-ARIFARI, prendra ensuite la parole pour un speech dont l’engagement émotionnel était, on ne peut plus palpable. Et pour cause : juste après sa nomination, le Patron de la diplomatie béninoise s’est rendu à Abidjan pour les obsèques de la belle-mère du Président du Faso, Son Excellence Monsieur Blaise COMPAORE. A cette occasion, c’est Feu Christophe GBEGBO qui l’a accueilli à l’aéroport. Au cours du séjour du Ministre Nassirou BAKO-ARIFARI, ils ont beaucoup échangé sur les dures conditions d’exercice de représentation du Bénin dans une Côte-d’Ivoire où il est même arrivé que son domicile essuie les balles des assaillants. Autant dire que ce fut un réel moment de partage et de complicité. Et tout naturellement, cela s’est ressenti lors de l’oraison funèbre du Chef de la diplomatie béninoise, surtout lorsqu’on sait que le diplomate est décédé à son lieu de travail, à son poste, (les hommes en uniforme diraient « les armes à la main ») et à un moment où il s’apprêtait à faire valoir ses droits à la retraite.
Pour la petite histoire, Monsieur Christophe GBEGBO a pris service au Ministère des Affaires Etrangères et de la Coopération un certain 17 août 1981. Il a servi dans plusieurs services du Ministère, aussi bien à l’administration centrale qu’en poste à l’étranger ; son dernier poste fut celui de Ministre-Conseiller à l’Ambassade du Bénin à Abidjan où il exerça, à différentes occasions et en différentes circonstances, les fonctions de Chargé d’Affaires et n’a pas manqué de forcer l’admiration des premiers responsables du Ministère des Affaires Etrangères de Côte-d’Ivoire.
Pour le Ministre Nassirou BAKO-ARIFARI, « Tout au long de sa carrière, Feu Christophe GBEGBO a toujours fait preuve d’une qualité humaine et professionnelle remarquable. Agent d’une compétence éprouvée et d’une grande disponibilité, homme affable, toujours prêt à vous écouter, il constitue assurément pour ses collègues, en particulier ceux de la génération montante qui ont eu le privilège de la connaître et de travailler avec lui, un modèle à suivre. »
Le représentant de la famille, Monsieur Médard GBEGBO, fils de l’illustre disparu, aura marqué, d’un sceau indélébile, cette deuxième cérémonie par ses mots venus du « cœur ». Répétant son père défunt, il dira que « Les discours les plus profonds sont ceux qui viennent directement du cœur. » Autre phrase mémorable qui nous reste de son intervention tirée des leçons de son géniteur : « Etre mari est une joie. Etre un père, est une grâce ; et être diplomate, plus qu’un métier, est un appel. » Jamais deux sans trois. Pour remercier l’assistance de ce soutien indéfectible, il est encore allé tirer les mots du répertoire visiblement très fourni de son feu père : « Mon père a toujours cherché un mot plus fort que merci pour manifester sa gratitude. Il a fini par le trouver avant sa mort. Je vais vous le dire. Le mot plus fort que merci, c’est : Que DIEU vous bénisse ! »
A la fin de cette double cérémonie, s’il y a une phrase qui peut résumer le mieux l’impression générale au sein de l’Association des Retraités, toutes catégories confondues, du Ministère des Affaires Etrangères, de la Francophonie et des Béninois de l’Extérieur, c’est que ce qui s’est passé ce vendredi 21 Septembre 2012, de mémoire de diplomate béninois, ne sait jamais passé auparavant… une cérémonie d’Hommages et de recueillement aussi grandiose et aussi emprunt de solennité et de prestance. Et ce n’est pas pour autant une prière pour que les Anciens de la « Maison vitrine du Bénin » meurent au plus vite… Simplement qu’il faut savoir dire « adieu ! » à ceux qui nous précèdent. Quelque chose se faisait avant. Un pas de plus a été franchi ce vendredi. Et il faut souhaiter le meilleur pour demain. Sans oublier que la meilleure des reconnaissances est celle qui honore l’homme de son vivant. QUE DIEU VOUS BENISSE !